Tomber amoureuse, c'est tout le mâle que je te souhaite, mais n'oublie pas de te relever.

Tu fais des trous de cigare sur un air de free jazz dans les manches de tes chemises odorantes et froissées je te regarde frémir sans prononcer un mot je ne suis pas sûre d'aimer l'homme que tu deviens je repense à hier nous étions fous alliés j'étais imbue de toi tu croyais en ma fièvre je laisse des marques sombres sur le bord de ma tasse j'accepte de guerre lasse de me battre contre l'ombre qui rôde autour de toi comme un vautour flairant l'odeur d'une mort prochaine prenant doucement ta place j'ai vu un vélo mauve passer sous mes fenêtres ouvertes pour chasser ta puanteur mondaine il roulait vite comme volent tes principes en éclats de voix de verre de rire les réverbères s'éteignent un sur deux c'est classique verdâtres et fatigués l'un reste l'autre part il faudra ramasser les morceaux de mon cœur tu veux aller partout quand je rêve d'ailleurs tes serments informels conservés dans le formol dans un bocal fermé posé sur ma cheminée me rappelleront toujours que je souhaite oublier que toi et moi serpent ce n'est que partie remise.

Sale allumeuse de base je ne passerai pas outre tes allures de cochonne ce soir je vais te la foutre t'aurais pas dû me chercher tu t'es gourrée de bonhomme je te jure tu me la fais pas une libertine comme toi mérite bien sa branlée.
Comme tu es plutôt bonne tête noyée dans les chiottes avec ta jupe qui vole fais tourner fais tourner je t'autoriserai peut-être à me faire une faveur si je veux tout à l'heure t'enseigner la saveur de mon membre magique.
T'aurais pas dû me brancher je démarre au quart de tour trois verres et je suis en rut je te nique sans peine petite pute en privé en public pas ça qui m'arrêtera tu vois comme quoi je suis pas une fiotte c'est mon calbute qui fait la loi.
Je te laisserai cracher si je vois que tu bois la tasse franchement ose dire pouffiasse que je n'ai aucune classe parce que tu vois grosse chienne je te respecte quand même tout le monde n'a pas l'honneur de se faire troncher ainsi.
Tu pourras bien te plaindre mais n'espère pas grand-chose personne n'écoute geindre les filles de ton espèce celles qui n'ont rien d'autre à offrir que leur cul en pâture qui ne seront jamais personne celles qu'on fourre et qu'on laisse.