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N'en jetez plus.
9 juin 2009

J'entends comme les ébats de deux vents contraires à l'étage inférieur.

Je veux ton instrument avant sans les regrets après, ménestrel, ta malice sur mon missel et sucrée salée je saurai m'essouffler sans en avoir l'air.
Corne muse chante mes louanges et sonne le glas de la vertu qu'il me reste, la gourmandise, comme c'est vilain, ne me fait pas défaut, je connais les ficelles, mes péchés de pucelle me mèneront au bûcher.
J'ai trouvé le trouvère troublant mais ne soyons pas mièvres, s'il y a loin de la coupe aux lèvres, serment d'hypocras si tu te fais fontaine je boirai de ton eau.

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Commentaires
D
(Quant au bûcher, aucune crainte à avoir, je n'aime que les flammes caressantes.)
D
Et pour les retours de flamme, le service des réclamations...?
P
Alors que je découvre ces lignes suaves, un goût éléctrique me parcoure la bouche. Pâles pitations et une envie soudaine de me transformer en fontaine. Je dédie mon instrument aux lounges et aux doux plaisir, pour les regrets veuillez contacter le service des renseignements.<br /> Avec la simple espérance que le feu qui t'emporte soit un bucher gourmand de jouissances ordinaires.<br /> <br /> .Un menestrel à l'imagination pas tres émoussée.
K
joli ! :o)
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